Ton Père Céleste t’appelle à nouveau !
Alors que tu lis ces quelques lignes, tu as peut-être été proche de Dieu par le passé.
Tu plaçais ta confiance en Dieu, priais beaucoup, lisais la Bible, fréquentais une église et des chrétiens …
Mais au fur et à mesure du temps, à cause des difficultés, des blessures, des doutes, ou pour toute autre raison, tu as fini par t’éloigner de Dieu en te disant : « À quoi bon ? », « Ça ne sert à rien de continuer de suivre Dieu si c’est pour vivre ça ! ».
Et tu as tourné le dos à Dieu pour continuer la vie de ton côté. Tu as laissé de côté cette relation.
Mon cher ami, connais-tu le fils prodigue ? Te rappelles-tu de son parcours de vie ?
Te souviens-tu qu’il s’est éloigné de son père, de sa famille, de son foyer et a voulu vivre la vie de son côté en prenant son héritage et en le dilapidant ? Au-delà de ses richesses, c’est la relation avec son père qu’il avait perdue. Mais son propre père ne lui a fait aucun reproche et a respecté son choix.
Luc 15.12-19
« Le plus jeune dit à son père : Mon père, donne-moi la part de bien qui doit me revenir. Et le père leur partagea son bien.
Peu de jours après, le plus jeune fils, ayant tout ramassé, partit pour un pays éloigné, où il dissipa son bien en vivant dans la débauche.
[…]
Étant rentré en lui-même, il se dit : Combien de mercenaires chez mon père ont du pain en abondance, et moi, ici, je meurs de faim !
Je me lèverai, j'irai vers mon père, et je lui dirai : Mon père, j'ai péché contre le ciel et contre toi,
je ne suis plus digne d'être appelé ton fils ; traite-moi comme l'un de tes mercenaires. »
Ce fils a pris conscience qu’il avait fait un mauvais choix qui lui coûta beaucoup. Il s’est rendu compte qu’il avait laissé l’amour d’un père, de sa famille, de cette abondance dont il bénéficiait, tout cela pour vivre une vie selon son bon vouloir.
Mais ce n’est pas parce que ce fils a pris un mauvais choix par le passé, que ce choix a été irrémédiable.
Peut-être que tu te sens comme ce fils qui a regretté ce choix qu’il avait fait, notamment celui de s’éloigner de son père.
Peut-être que tu aimerais tant revenir toi aussi auprès de Dieu, ton Père Céleste mais que tu as peur de Sa réaction, de comment Il va réagir à ton sujet, qu’Il te rejette.
Tu te dis « qui suis-je ? », « comment Dieu peut encore m’accepter après tout ce que j’ai fait ? », « va t -il me pardonner ? »
J’aimerais lire avec toi la suite de cette histoire du fils prodigue, en prenant conscience que le père dont il est question représente en fait Dieu !
Luc 15.20-24
« Et il se leva, et alla vers son père. Comme il était encore loin, son père le vit et fut ému de compassion, il courut se jeter à son cou et le baisa.
Le fils lui dit : Mon père, j'ai péché contre le ciel et contre toi, je ne suis plus digne d'être appelé ton fils.
Mais le père dit à ses serviteurs : Apportez vite la plus belle robe, et l'en revêtez ; mettez-lui un anneau au doigt, et des souliers aux pieds.
Amenez le veau gras, et tuez-le. Mangeons et réjouissons-nous ;
car mon fils que voici était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, et il est retrouvé. Et ils commencèrent à se réjouir. »
Ce fils devait probablement craindre la réaction de son père. Mais sans aucun jugement, sans aucun reproche, le père ému de compassion accepta son fils, le revêtit du plus beau vêtement et prépara une fête en son honneur !
Mon cher ami, la repentance du fils n’a pas eu en réponse un jugement ou une condamnation du père. Sa repentance à ému et réjouit le coeur de son père !
Et c’est le coeur de Dieu pour toi, qui n’attend qu’une chose, que tu reviennes à lui !
Il n’y a pas de jugement, de condamnation, de rejet de sa part ! Il veut t’accueillir les bras grands ouverts en disant « Mon enfant, je suis heureux de t’accueillir à nouveau auprès de moi ! »
Ta repentance, consiste à prendre conscience de tes fautes, de tes péchés, de tes mauvais choix, c’est choisir de les reconnaître et de t’en détourner en demandant pardon à Dieu, tout comme le fils s’est détourné de ses voies en demandant pardon à son père.
Je veux te dire qu’il n’est pas trop tard ! Que si l’homme t’a blessé, Dieu n’en est pas responsable, qu’Il t’aime au plus haut point et qu’Il désire tant te revoir auprès de Lui.
La peur n’est pas un sentiment qui vient de Dieu, car il n’y a aucune peur en Dieu. Il amène la paix, et l’Amour parfait bannit la crainte !
Jonathan